Les auteurs du 5e Salon des auteurs chrétiens nous ont fait l’amitié de répondre à 5 questions pour permettre aux lecteurs de mieux les connaître.

Voici les réponses de notre auteur !

Qui êtes-vous ? D’où venez-vous ?
Je m’appelle Bénédicte Delelis, je suis mariée avec Benoit, nous avons quatre enfants et nous habitons Paris. J’enseigne la théologie aux jeunes et moins jeunes, au Collège Stanislas en classes préparatoires, et au Collège des Bernardins.
Quel est votre univers ?
J’aime écrire pour les enfants et leurs mamans. Et notamment raconter la belle vie des saints.
La liste de vos principaux ouvrages déjà publiés (ou à venir)

La collection Graines de saints.
La collection des lettres : Lettres aux mamans, A ceux qui attendent la consolation, A ceux qui ont la vie devant eux (Mame)
Fioretti d’espoir (Mame)
Et un tout neuf : 364 méditations pour les mamans (Mame). Il s’agit d’une phrase par jour pour encourager les mamans dans leur quotidien, illustrée par une merveilleuse artiste originaire de l’île Maurice, Gabrielle Wiehe.
Et pour les ados : Carlo Acutis, Thérèse de Lisieux, Claire de Castelbajac, et Mère Teresa (tout juste paru !) dans la Collection témoins de l’invisible, de l’Emmanuel.
Côté enfants et pour Noël, il y a Basile et l’enfant roi ou Le merveilleux Noël des jouets et aussi 24 histoires pour attendre Noël avec les saints.

Parlez-nous de votre dernier opus… Qu’est-ce qui vous inspire ?
Je suis très heureuse d’avoir pris la plume pour raconter aux jeunes de 9 à 99 ans l’histoire extraordinaire de mère Teresa: l’appel de Dieu pour elle, les merveilles qu’il a opérées par elle et à travers elle. Je me réjouis également d’offrir avec Gabrielle ce très joli almanach à toutes les mamans. J’espère qu’il saura leur rappeler à quel point elles sont aimées et précieuses.
Si on vous dit « Tours », vous nous dites…
Merci de m’y accueillir si gentiment !
Une anecdote de rencontre avec le public ?
Il est toujours très touchant de rencontrer le public. Je garde dans mon coeur précieusement les courts mais profonds échanges qui s’y nouent souvent : les peines et les joies partagées le temps d’une signature. Ce qui me réjouit le plus est d’entendre que quelqu’un a découvert quelque chose de la bonté de Dieu, à travers notre petit travail. Alors, cela vaut pour moi toutes les fatigues, tous les efforts !